Dès le début de la guerre, la masse très importante du courrier envoyé depuis l'arrière vers les soldats a complètement dépassé la Poste militaire. Dans son rapport d'inspection de fin septembre 1914, le Général Lachouque évoque 1 100 000 lettres et cartes postales, 3 000 journaux, 9 000 paquets, 2 438 sacs de chargements, 8 500 mandats et 640 télégrammes reçus en une semaine par le Bureau Central Militaire.
À cette incapacité structurelle s'ajoute un manque d'information sur la position des troupes qui bougeaient vite et beaucoup en fonction de l'évolution du front.
On comprend donc que dans ce contexte, de très nombreux envois n'ont trouvé leurs destinataires qu'après bien des réexpéditions, voire ne les ont jamais trouvés.
Ces derniers courriers étaient alors retournés à l'expéditeur, avec une griffe indiquant le motif de ce retour.
La mention la plus usuelle est "LE DESTINATAIRE N'A PU ÊTRE ATTEINT", manière pudique de signaler aux familles que ce soldat était mort ou disparu ou blessé ou ….
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On comprend donc que dans ce contexte, de très nombreux envois n'ont trouvé leurs destinataires qu'après bien des réexpéditions, voire ne les ont jamais trouvés.
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Ces derniers courriers étaient alors retournés à l'expéditeur, avec une griffe indiquant le motif de ce retour.
La mention la plus usuelle est "LE DESTINATAIRE N'A PU ÊTRE ATTEINT", manière pudique de signaler aux familles que ce soldat était mort ou disparu ou blessé ou ….
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