Le timbrage au départ étant devenu une pratique courante, l’étape suivante pour compléter la traçabilité du courrier est sa datation car elle permettra de contrôler les délais d’acheminement.
Face à la demande des usagers, l’administration postale est partagée entre, d’une part, la volonté de donner suite à cette requête qu’elle comprend et qu’elle partage, et, d’autre part, la dépense considérable que représenterait les ressources matérielles et humaines nécessaires à la mise en œuvre de la datation du courrier.
Pour Paris, c’est à partir de 1791 qu’on trouve au verso des lettres ordinaires provenant des départements une marque n’indiquant que le quantième.