Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Cette exposition vous présente les 130 premières années des lettres recommandées, des origines au 31 décembre 1959
Au 19ème siècle, les disparitions des lettres confiées à la Poste sont de plus en plus fréquentes.
Pour remédier à cette situation, l’administration crée à partir du 1er mars 1829 la lettre recommandée.
Ce service optionnel ne concernait que les lettres de province pour Paris. Pour y souscrire, la lettre devait obligatoirement être déposée au guichet d’un bureau de direction, sous enveloppe scellée par au moins deux cachets de cire avec empreinte et être expédiée en port dû.
Les lettres recommandées étaient taxées comme les lettres ordinaires (tarif du 1er janvier 1828). Elles étaient enregistrées (un bulletin détachable de ce registre étant remis à l’expéditeur), frappées du timbre du bureau, du dateur du jour de l’expédition, du timbre particulier R en noir dans l’angle supérieur droit. Le numéro d’enregistrement était porté dans l’angle supérieur gauche.
Les lettres recommandées n’étaient délivrées à domicile ou en poste restante qu’en échange de la signature du destinataire sur le registre des chargements.
En juillet 1844, ce service est étendu à tous les bureaux de France et d’Algérie et les lettres recommandées peuvent désormais être expédiées en port payé ou en port dû.
Au 1er janvier 1849, les lettres recommandées sont obligatoirement affranchies et soumises au double port. Des textes contradictoires ou ambigus publiés par l'Administration des Postes au sujet de la manière d'affranchir ces lettres amèneront les préposés à accepter les deux modes d'affranchissement : numéraire ou timbres – poste.
Le service des recommandations est supprimé le 1er juillet 1854 car les lettres recommandées étaient assimilées à des lettres chargées. Le timbre R ne sera donc plus utilisé.
Il est rétabli en 1873, les lettres recommandées étant désormais distinguées des lettres chargées du fait que ces dernières ne concernent que les envois contenant des valeurs déclarées.
L’affranchissement des lettres recommandées comprend l’affranchissement de l’envoi au prix normal auquel s’ajoute une taxe fixe de recommandation.
Un nouveau timbre R est mis en service. Il le sera jusqu’en octobre 1909 où il sera remplacé par des étiquettes.
Ce site n'utilise que des cookies nécessaires à son bon fonctionnement.
Aucun cookie ne collecte vos données à des fins publicitaires ou de traçage.