Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
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Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
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En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
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Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
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Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
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Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
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DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
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Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
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DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
Cette collection présente :
DES LETTRES CHARGÉES PAYANTES.
DES LETTRES CHARGÉES EN FRANCHISE.
DES LETTRES CHARGÉES D'OFFICE.
Le plus ancien texte officiel connu réglementant l’envoi de lettres chargées date du 8 juillet 1759. Il ne s’agit toutefois pas du texte fondateur de ce service car des lettres chargées antérieures à cette date sont connues.
En la 1ère moitié du 18ème siècle, "charger une lettre" semble signifier qu'à la demande de l'expéditeur, l'envoi est pris en charge officiellement par l'administration postale par son inscription sur le formulaire adéquat. Cela représente pour l'expéditeur un gage de sécurité pour l'acheminement. On trouve alors des plis chargés contenant ou non des valeurs.
Au fil du temps, ce service du chargement va se développer de plus en plus, notamment à partir de la révolution de 1789 où il rend très pratique les envois de monnaie, billets de confiance et autres valeurs.
Le statut des lettres chargées et leur traitement changeront bien entendu au fil du temps : mode de calcul de la taxe supplémentaire due pour ce service, interdiction ou autorisation d'insérer des valeurs dans les plis, marques postales spécifiques, modalités de distribution, formulaires administratifs, … .
Ces évolutions aboutiront en novembre 1909 au retrait du timbre descriptif de chargement et à la mise en service d'étiquettes pour les courriers recommandés, étiquettes aussi utilisées pour les lettres chargées (voir l'article de F Landois dans le n° 339 des Feuilles Marcophiles). C'est là que s'arrêtera cette étude.
Le cas des lettres chargées non pas à l'initiative de l'expéditeur mais à celle de l'Administration Postale, lettres dites chargées d'office, est aussi traité. En effet, exception faite de la taxation, le traitement de ces envois est le même que celui des autres lettres chargées.
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