En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
En cette première moitié du 18ème siècle, c’est la FERME GÉNÉRALE DES POSTES qui exploite les postes et messageries. Elle a été créée par Louvois en 1672. Les baux pour ce monopole postal, d’une durée de cinq ou six ans, sont consentis par le Roi en échange d’importantes sommes d’argent.
En 1703, la France compte 770 bureaux de poste. Ce nombre va presque doubler en un siècle puisque 1 439 bureaux existent en 1802. L’administration va donc devoir s’adapter et faire preuve d’efficacité face à augmentation du courrier et face aux épreuves que va traverser la France.
Cette efficacité devait aussi être financière étant données les sommes conséquentes à verser au trésor royal. Taxer correctement les correspondances étant donc un impératif et il fallait pour cela connaître leur bureau d’origine. C’est le début des marques postales de départ.
Les premières marques de départ connues pour les lettres en port dû sont manuscrites et datent de 1677.
L’usage d’un tampon en bois ou en métal pour les marques de départ en port dû commencera en 1695.
Pour expédier une lettre, la seule possibilité était de la déposer au guichet du bureau de poste ou dans la boîte aux lettres de ce bureau. A l’exception de Paris qui comptait en 1722 sept boîtes supplémentaires, il n’existait pas d’autres boîtes aux lettres que celles des bureaux de poste.
L’habitude était d’envoyer les lettres en port dû, c’est-à-dire aux frais du destinataire. D’abord parce qu’on ne payait pas un service avant qu’il ne soit rendu, ensuite parce le fait de payer le port à la distribution réduisait le risque de « perte » des courriers pendant leur acheminement, enfin parce qu’il pouvait être considéré comme irrespectueux de sous-entendre que le destinataire n’avait pas les moyens de régler le port.
Les lettres en port payé étaient principalement adressées aux administrations et au clergé qui, sinon, les auraient refusées.
Dans la très grande majorité des cas, il fallait se rendre au bureau de poste pour retirer son courrier. S’il existait des facteurs, ceux-ci distribuaient le courrier à domicile dans la ville même, mais pas dans les campagnes environnantes.
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